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C’était une femme qui paraissait trop sérieuse pour être volage. Elle avait peut-être cédé à un homme par accident, mais elle aimait trop son mari pour letromper sans vergogne. Plus il la regardait, plus il avait envi de l’aborder pour en savoir un peu plus sur elle. Peut-être qu’après avoir écrit ce mot, elle avait besoin d’être réconfortée tout du moins avait-elle envi de se confier à quelqu’un.
Subitement, sentant qu’on la regardait, elle leva la tête et après avoir jeté unregard autour d’elle, nos yeux se croisèrent. Je n’arrivais pas à soutenir sonregard, et je baissais les yeux rapidement, peut-être un peu gêné de l’avoir tantépiée. J’étais un peu comme un gosse qui, surpris en train de faire une bêtise, baisse la tête honteusement. Quand je repris mes esprits, je me décidais d’agir sans plus attendre. J’allais me déplacer et me présenter devant sa table, face à elle. Je préparais dans ma tête les mots que j’allais pouvoir lui dire. Il fallait que je réussisse mon entrée en matière si je ne voulais pas paraître ridicule. Aprèsm’être présenté, je lui indiquerais la raison de ma démarche. Je lui dirais quem’étant aperçu qu’elle avait des traces d’encre sur le bout de ces doigts et, nesachant pas si celle-ci était encore fraîche, je voulais lui éviter qu’elle puisse souiller ses beaux vêtements.
C’est au moment où j’étais sur le point de finaliser mon texte et de me lever,que j’aperçus à l’intérieur de la brasserie, un homme avec un gamin qui courrait devant lui, se diriger vers mon égérie. Le gamin avait les bras levés cherchant àmontrer l’état de ses mains. A la réaction de la jeune femme qui jusque-là avait.
accaparé toute mon attention, je compris la scène qui se déroulait devant moi.L’enfant était vraisemblablement son fils, dont le père, qui le suivait, venait de lui laver les mains aux toilettes. Avec la grande tâche d’encre que l’enfant avaitsur le devant de sa chemise et qui avait dû résister au lavage, il était facile decomprendre d’où provenaient les marques que sa maman avait sur le bout de ces doigts. On devine qu’elle avait dû retirer, des mains de son fils, un feutre avec lequel il jouait et, à son tour, s’était tâchée l’extrémité des doigts.
Mon imagination débridée m’avait encore une fois jouée des tours. Certes,j’avais passé un bon moment en laissant libre cours à mes pensées, mais je bénissais malgré-tout le ciel, d’avoir fait arriver l’enfant ainsi que son père, juste un peu avant que je me rende ridicule en me rendant devant la table de cette charmante personne.
A l’arrivée de l’enfant et de l’homme qui l’accompagnait, qui je pense, devait-être son mari, la jeune femme s’était levée pour prendre son fils dans ses bras. Au sourire de l’enfant, je devinais qu’elle devait le féliciter pour avoir des mains aussi propres.
Le couple et l’enfant avaient quitté la brasserie, chacun tenant le gamin par la main. Ils remontaient nonchalamment le boulevard, comme un couple heureux. Je les regardais s’éloigner, mes yeux toujours posés sur cette femme qui avait, l’espace d’un instant, accaparée mes pensées.
Bibliographie de J.C. Colonges :Une vie ! c’est si vite passé - biographie - 413 p. – mars 2016
Et si c’était lui ! - roman - 250 p. - août 2017
J’ai décidé de rester à ses côtés - la maladie d’Alzheimer de son épouse. - 235 p. - sept. 2017
Camille - roman - 267 p. - oct. 2018
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